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PRESSE

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 Les terrasses du jeudi
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Vosges Matin
  - février 2009

Première des cafés-chansons avec un doux rêveur, Gil et ses musiciens qui nous entraînent dans leur univers.
Ambiance intimiste avec des chansons parlant avant tout de l'amour et de la vie vendredi soir au Lavoir-Théâtre Georges Brassens, et Gil, auteur, compositeur, interprête et chanteur, accompagné par ses trois musiciens, Emmanuel Rivière à la guitare et au chœur, Franck Ratajczyk à la contrebasse et au chœur et Maurice Merizen à la batterie.
Gil est un doux rêveur, originaire de la Région Parisienne, qui nous raconte par le biais de ses chansons sa vision de la vie depuis six années. Avec un seul but, donner du bonheur à tout le monde, doux rêveur ayant passé une partie de sa vie la tête dans ses nuages. "Je suis sur scène et je suis bien. J'essaie d'être le plus honnête possible avec mon public. Pour moi, il y a deux choses importantes dans la vie: la liberté et l'amour, être heureux et être libre. Je n'ai qu'une philosophie: penser que la vie est belle et que cela vaut la peine de la vivre. Le minimum qu'on peut lui donner, c'est d'être heureux et je le suis."
Et lorsqu'il entre en scène, il nous fait partager cette joie de vivre avec des rythmes ensoleillés, empreints de douceur comme les bonbons de notre enfance. Il nous emmène, lui et ses musiciens, dans un univers peuplé de bonheur et d'amour avec "T'aimer", "Vivre et mourir" où il se questionne sur le bonheur de partir en laissant quelque chose derrière lui ou encore "Ma boule" où il lance un cri d'alarme en avouant qu'on a tiré un peu trop sur la planète qui est fragile...
Et le public, fasciné et ému par cet être qui nous apporte du rêve en nous entraînant dans ses nuages, en redemande.
A noter que le groupe prépare un nouvel album prévu pour septembre 2009. 
 


-haut




Radio Pulsar
  - mars 2008

Agréable à l'écoute; guitares cinglantes, voix rageuse, textes de bonne facture.

Lionel IMBERT 


-haut-




Radio Club
  - février 2008

La voix est toujours cassée, les musiques sont restées très acoustiques et l’accordéon a fait place à une guitare supplémentaire, celle de Manu Rivière. Ce rêveur sait donner vie à ses chimères, il sait ouvrir les portes cachées qui conduisent aux dédales de l’âme et qui ramènent ensuite à une douce réalité. Très agréable !

Alain STIEVENARD 


-haut-




Radio Club
  - novembre 2006

La voix cassée témoigne d’un vécu qui cherche dans le présent son éternité. « D’ici ou d’ailleurs »  les rêves cachent toujours les réalités et le temps rend à la vie ses beautés cachées.

Alain STIEVENARD 


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Chant'Essonne
  - août 2006

En mai 2004, nous avions déjà eu l'occasion d'apprécier quelques titres de cet ACI qui préfiguraient son 1er CD. Chanteur depuis toujours, il est pourtant débutant dans le métier.
Néanmoins, le charme de la voix rauque de ce quadragénaire rugissant opère immédiatement, de ces voix à la Arno que l'on croirait entretenue par le tabac! Il est, ici, accompagné par V.Brun à l'accordéon diatonique, F. Ratajczyk à la contrebasse et M. Merizen à la batterie et aux percussions.

De bal musette en fiesta hispanique, de rythmes latinos ou plus jazz, la grande variété des arrangements contribue grandement à illustrer agréablement le regard sans concession qu'il porte sur la vie et ses contemporains. Un monde sensible de rêves et de voyages, rêves éveillés empreints de nostalgie du passé et tentation de voyages improbables, à "vouloir se hâter pour exister" et "passer sa vie à chercher comment partir". Utopie encore, "on voudrait nous faire croire au ciel / vendre du bonheur par logiciel / mais notre amour pour l'éternel / tu peux prier sur Internet / pour tous ceux qui sont partis / j'reste ici".

Magie du rêve et du texte, du mot et du son, notre Pierrot lunaire doucement rêveur est bien décidé à récidiver au plus tôt!


Jean-Pierre CRETIN

-haut-





Chanson Mag
- mai 2006

"Je suis d'ici ou d'ailleurs / Qu'importe, je suis d'ici", exprime GIL au travers du refrain de la chanson D'ici ou d'ailleurs de son tout premier album éponyme. Oui, il est bel et bien d'ici et avec sa voix rauque, il nous livre ses sentiments, ses amours, ses joies, ses peines, son regard sur le monde au travers de rythmes acoustiques: accordéon, basse, guitare, percussions...
Un regard sans concession et réaliste: "On voudrait nous faire croire au ciel / Vendre du bonheur par logiciel / Mais notre amour pour l'éternel /  Tu peux prier sur internet / Pour tous ceux qui sont partis / J'reste ici", tout cela servi avec un zeste de nostalgie du temps passé: "Le petit qui rêve / Dans son grand lit tout blanc / N'en aura pls pour très longtemps / Après il sera trop grand."

Un premier album qui est une réussite, vivement le prochain.

MONTAG 


-haut-



Musiqualite.net
- mai 2006

Gil a une voix rauque à la Arno ou à la Bashung, qu'on rêverait d'entendre sur un bon ragga. Gil, c'est aussi un de ces auteurs-compositeurs qui ont appris la guitare en autodidactes. Il a commencé à 13 ans et s'est fait la main sur des standards de Brassens et Django. De quoi arriver armé sur scène lorsque à 17 ans, il reprend les chansons d'Ange avec un premier groupe. Il tourne ensuite dans les salles avec plusieurs formations jazz et fusion-jazz, tout en écrivant ses morceaux en parallèle.

Accompagné sur scène de trois musiciens (percu, contrebasse et accordéon), il distille aujourd'hui une chanson intimiste et tendre, qui ne se prive pas d'aborder les sujets graves: l'amour torturé, les regrets, le quotidien et ses déceptions. Mais pour le musicien, la vie et ses plaisirs sont précieux.

Les titres qui oscillent entre rythmes latinos, musette et jazz, sont teintés d'une aura légèrement atemporelle. Peut-être parce que les références de Gil sont plus du côté de Ferrat et Higelin que de Bénabar ou les Têtes Raides. Ou parce que les morceaux, parfois lents à décoller, manquent un peu d'épices.

Mais Gil, qui ambitionne simplement à rendre les gens heureux, réussit son pari. C'est déjà beaucoup.


Marie CHARREL

-haut-



L'Alsace
- 05 mars 2006

Marchand de petits bonheurs

Auteur, compositeur, interprète, GIL, en dépit d'une quarantaine rugissante, est un débutant dans le métier avec derrière lui à peine trois ans de chanson et un enregistrement. Avant d'entamer la discussion avec quelques-uns des étudiants membres du comité d'écoute qui l'a sélectionné pour ouvrir la Semaine de la chanson, il se déclare "surpris d'avoir été choisi par un public aussi jeune". A la ville comme sur scène, GIL est un gentil, un doux rêveur un peu naïf qui puise  son inspiration "dans l'amour, toujours l'amour", au risque parfois de paraître un peu fade. Mais ses allures d'enfant devenu trop vite trop grand fait son charme et le public de la Filature lui a réservé jeudi soir un accueil chaleureux.

Accompagné par ses complices Franck (contrebasse, flûte et piccolo), Maurice (batterie et percussions) et Vincent (accordéon diatonique), GIL sème le bonheur comme d'autres le bon grain, mélange les genres et se nourrit d'influences tziganes, latino ou jazzy, avouant: "Je joue d'instinct". Ingénieur du son, ce Parisien qui vit à la campagne avoue ne pas avoir de grandes ambitions. "Il me suffit d'avoir assez pour vivre, je ne veux pas que le succès m'éloigne de ma famille", une famille qui est, comme il ne cesse de le répéter, "essentielle à (son bonheur)".

Sur scène, le chanteur privilégie "l'acoustique qui permet aux mots de se faire entendre" et s'il considère l'enregistrement comme un passage obligé, il préfère le contact avec le public, de préférence dans les petites salles. Bien décidé à "poursuivre (sa) petite vie d'artiste tranquille", GIL est un optimiste convaincu qui aime parler des choses graves sans forcément faire couler les larmes. Un Pierrot lunaire qui comme ses frères gitans aime à jouer "n'importe où et n'importe comment pourvu que cela rende les gens heureux".

Jean-Marie VALDER


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Ramdam
.com - mai 2005

Avec D'ici ou d'ailleurs, nous voici dans un univers aux couleurs variées et dynamiques. On passe par le bal musette et on finit dans une fête hispanique... Au tableau de l'inspiration ? Un peu d'Higelin, du Ferrat et pourquoi pas du Leprest...

La chanson Pour eux dont le thème reprend en partie celui de "La complainte du phoque en Alaska" du groupe Beau Dommage, nous explique que peu importe d'où l'on vient, il nous arrive de regretter certaines choses et de nous perdre dans les souvenirs au point d'oublier qui on était réellement.

Le morceau J'attendrai est splendide. Dans cette chanson, un homme se console du départ de sa compagne en espérant déjà son retour. Il tente ainsi d'adoucir la douleur de la perte amoureuse. La musique y forme une superbe symbiose avec le texte et vient appuyer sa beauté.

Vivre et mourir ou comment terminer son disque en le faisant grimper à son apogée... "Une vie à chercher comment partir, mourir pour s'unir, mourir et en rire...". Rien à ajouter sinon qu'il est subtil de ne pas nous avoir fait sortir nos mouchoirs et de nous amener sans lamentations aucunes à nous interroger sur la valeur de notre existence grâce un à rythme soutenu.

Accordéon diatonique, guitare, flûte, contrebasse, batterie, percussions: un vrai mélange, des vrais accords pour le plaisir de l'oreille.

Un seul reproche, des chansons souvent lentes à démarrer (D'ici ou d'ailleurs, J'voudrais, Jeunesse) et parfois un peu trop longues (Conscience).

Pour un premier album, nous nous sommes plus à écouter les états d'âme de Gil, même que certains en redemandent... A quand la prochaine tournée ?

Anouck FLON

-haut-



La République de Seine et Marne
- 19 mars 2005

Deux chanteurs à découvrir

Venez découvrir Gil et Cyrille Monge, plateau découvertes chanson, le samedi 19 mars à 20h30 à la Bergerie.

Cyrille Monge assurera la première partie: chanteur et guitariste autodidacte, anonyme pendant plusieurs années, Cyrille Monge s'est un jour laissé convaincre de glisser deux ou trois couplets aux oreilles rassurantes, quoique publiques, de quelque scène ouverte de l'Acoustic Bazar.

Gil (guitare et chant, Vincent Brun accordéon, Maurice Merizen percussions, Franck Ratajczyk contrebasse) vient de créer un nouveau spectacle. Profitant d'une semaine de résidence au Théâtre le Moustier à Thorigny sur Marne, il a pu construire un tour de chant d'une heure trente, dans lequel les chansons les plus rythmées trouvent leur place à côté des plus intimes.

Pour la première fois au Lavoir cette année, cet auteur-compositeur-interprète plutôt romantique vous apprivoisera par sa voix, ses mélodies, et par les méandres de sa poésie.

Ces deux artistes sont à découvrir!


-haut-



La République de Seine et Marne
- 14 mars 2005

Gil, d'ici ou d'ailleurs

Gil sera en concert à la Bergerie, à Nangis ce samedi 19 mars en soirée, avec ses chansons "d'ici ou d'ailleurs", le titre de l'une d'elles en tout cas: "On ne vit pas au même moment, on ne vit pas les mêmes instants, la vie, c'est si difficile. Il y en a pour qui c'est plus facile... Je suis d'ici ou d'ailleurs, qu'importe, je suis d'ici, d'ici ou d'ailleurs, qu'importe, je suis d'ici...".

Pour ce concert, Gil, chant et guitare sera entouré de Vincent Brun, accordéon diatonique, Franck Ratajczyk, contrebasse et flûte et Maurice Merizen, batterie et percussions.

Chansons à textes, chansons fortes, de sensibilité, d'ambiances chargées d'émotions, chansons de la vie, de toujours, de la vie de tous les jours... Au nombre de celles-ci, "Pour eux", cette histoire qui n'en finit pas de recommencer, "J'voudrais" chargée de rêves, de nostalgie, au conditionnel bien sûr, "J'attendrai" au futur par contre pour une histoire tournée vers le passé, ou encore "Vivre et mourir", "Les yeux d'enfants" entre autres titres de chansons tendres, douces-amères, humanistes.

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Chant'Essonne
- mai 2004

Cet Auteur-Compositeur-Intreprète chante d'une voix râpeuse les sentiments simples et la vie après l'avoir rêvée. Des rythmes acoustiques le plus souvent très enlevés ajoutent à la portée des textes réalistes, tels ce monde utopique dans lequel il ferait bon casser nos vérités et nos envies (Silence) ou cette superbe ritournelle évoquant la mémoire qui fuit en "une histoire qui ne finit pas de se recommencer" (Pour eux). Instant d'émotion, enfin, que le tourment de cet amour torturé accompagné de quelques sobres arpèges de guitare (J'attendrai). Le CD à venir devrait confirmer la belle promesse de ces 4 titres.

Jean-Pierre CRETIN



Terrasses du jeudi
- juillet 2004

Des textes intimistes avec l'Amour en fil conducteur, un univers nourri par les grands auteurs de la chanson française, porté par la guitare, la contrebasse, les percussions et l'accordéon.
À fleur de peau, la musique et les mots, chez Gil, s'imbriquent pour mieux se déchiffrer. Sur scène, la communion avec le public est emplie de tendresse et de vie.

-haut-




La République de Seine et Marne
- juillet 2004

"Un pur moment de bonheur"

La directrice du Moustier est tombée sous le charme de la voix rauque de Gil.

Gil avec sa guitare, accompagné par Vincent Brun à l'accordéon diatonique, nous entraîne dans ses voyages sur une musique rythmée.

"Si tu venais dans mes nuages voir le pays des hommes sages"
"Rêver avec des yeux d'enfant"

Pratiquant la musique depuis l'âge de 14 ans, il a joué du classique, du jazz, du rock...Ses musiques et ses chansons sont le reflet de ces différents styles. Après s'être produit sur plusieurs scènes pour y présenter son répertoire d'une vingtaine de chansons, Gil est aujourd'hui un artiste professionnel. Il jouera sur le plateau du Moustier le 12 février prochain.

Céline MANCEAUX


















Paris Normandie
- juillet 2004

Insouciance et bonne humeur, Gil cultive la chanson "air du temps" comme d'autres bichonnent leur BX le dimanche. "J'ai joué dans de nombreuses formations rock, classique et beaucoup de jazz", explique le jeune quadra. Certes l'influence de Django Reinhardt, ses premières amours, s'entend aisément au fil des notes. Ce guitariste compte publier prochainement son premier album. "J'écoute tout ce que j'entends. Sinon, j'aime beaucoup Souchon." À Rouen, il sera accompagné par un accordéoniste diatonique, une contrebasse et des percussions.

Philippe TUAL

-haut-
photo GIL